Concours N°1 : Dis-moi dix mots (terminé)

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1. zefir,

Concours N°1 : Dis-moi dix mots.

Bonjour à tous !

Je suis sincèrement ravi de pouvoir vous présenter ce tout premier concours qui je l’espère fera partie d’une très longue série. Si vous choisissez de participer, parlez-en autour de vous, et n’hésitez pas à encourager le plus de monde possible à en faire de même ! Sans davantage de palabre, je vous présente les modalités de ce concours.

Consigne :
Je vais vous donner dix mots du dictionnaire que j’ai choisi avec soin. Par la suite, vous allez devoir composer un écrit avec, aucune longueur de texte n’est requise. Vous pouvez aussi bien faire trois lignes qu’une page complète, l’important étant que votre texte contienne les dix mots en question, peu importe l’ordre dans lequel vous choisirez de les introduire. J’ai volontairement choisi des mots simples, pour que ce concours soit accessible à tous. J’ai également introduit des définitions, afin d’aider ceux qui en ont besoin. À noter que je donne un sens précis des mots dans les définitions qui suivent, mais si le mot a plusieurs définitions, vous pouvez choisir celle que vous souhaitez utiliser.
Vous l'avez peut-être remarqué, il y a un onzième mot, devant lequel se trouve le signe # (dièse). Cela veut simplement dire que le mot est bonus, vous pouvez l'utiliser dans votre composition, ou non, c'est comme vous le souhaitez.

Voici les mots à utiliser:

  1. Solitude : État de quelqu'un qui est seul momentanément ou habituellement.
  2. Palmier : Arbre monocotylédone à tronc (stipe) peu ou pas ramifié, à frondaison sommitale formée de feuilles composées, qui sont pennées ou palmées selon l'espèce.
  3. Brise : Vent, en général quand il est peu violent.
  4. Verrouiller : Bloquer les éléments d'un mécanisme dans la position prévue pour son fonctionnement.
  5. Jour : Clarté produite sur la Terre par la lumière du Soleil.
  6. Oiseau : Vertébré ovipare, couvert de plumes et d'écailles cornées, à respiration pulmonaire, homéotherme, aux mâchoires sans dents revêtues d'un bec corné, et aux membres antérieurs, ou ailes, normalement adaptés au vol.
  7. Curiosité : Qualité de quelqu'un qui a le désir de connaître, de savoir.
  8. Caillou : Pierre quelconque de petite dimension, le plus souvent assez dure, qui a pu être façonnée par les glaciers (caillou poli, strié), le vent (caillou à facettes), les eaux (caillou roulé).
  9. Réveil : Fait de se réveiller, de passer du sommeil à l'état de veille.
  10. Cendre: Éléments incombustibles d'une chose qui, après la combustion de celle-ci, se retrouvent à l'état pulvérulent sous forme solide.
  11. Mot bonus: -Fenêtre : Baie comportant une fermeture vitrée, pratiquée dans un mur d'un bâtiment pour permettre l'entrée de la lumière, la vision vers l'extérieur et, habituellement, l'aération.

Pour ce premier concours, n’ayant pas encore de jury, ça sera moi qui me chargerait d’établir le podium en fonction d’un seul critère qui me paraît essentiel :
--L’originalité (c’est-à-dire une composition personnel qui parvient à s’approprier les mots proposés)

Vous avez quatre jours pour réaliser ce concours, jusqu’au vendredi 24 avril 2020, 16h (heure française. Comme vous l’avez peut-être remarqué, cela tombe le même jour que le tournoi de course de canard que j’organise. C’est volontaire, et de cette façon, vous aurez les résultats en exclusivité à l’antenne pour ceux qui seront parmi nous ! Bien sûr, je posterai en parallèle les résultats sur le forum.
Mes encouragements à tous !

Canartistiquement votre,
Zefir

P.S. Merci de poster sur ce topic vos contributions, et uniquement vos contributions. Si vous avez une question, une suggestion ou une réclamation, ça se passe uniquement sur le sujet principal.

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Dernière édition par zefir, 21.04.2020 02:02

2. hugoluch,

Un jour, sur une île isolée de tout, vivait un singe.Comme tous les jours il prenait une sieste bien méritée vu qu'il ne pouvait que faire cela. Oh, au niveau nourriture, il avait tout sur cette île. Des fruits, des graines, des racines ... Mais que sa *solitude lui pesait.

Tranquillement endormi sur son *palmier, gentiment chauffé par le soleil de ce *jour, profitant d'une petite *brise bien venue il ronflait paisiblement.

Mais un bruit fracassant le réveilla en sursaut. Bonjour le *réveil.

N'écoutant que sa *curiosité, notre petit singe alla voir tout ce bruit incongru dans ce lieu monotone.

Se balançant de branche en branche, il arriva sur la berge nord de l'île ... Et là !!! Il pu voir un cargo encastré dans un récif en train de couler corps et biens.

En quelques minutes plus rien n'était au-dessus de l'eau sauf une petite boîte qui venait vers lui.

S'approchant vers la berge, il prit la boîte dans ses mains et l'ouvrit.

Quelle fut sa surprise de voir un *oiseau enfermer dans une cage qui le suppliait de le libérer.

N'écoutant que son courage et surtout son altruisme, notre petit singe essaya d'ouvrir la cage mais elle était *verrouillée !!

Il essaya de tirer la porte mais rien n'y faisait ... Mais on oublie vite que ça race est intelligente et il alla directement chercher un *caillou.

Après plusieurs minutes ou il s'acharna sur la cage, il arriva à libérer son nouvel ami.

Ainsi une amitié fut crée sur cette île si monotone.

Ainsi des semaines et des mois se passèrent dans la joie et l'allégresse.

Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin ... Un jour un orage éclata sur l'île. Les vents étaient si puissants que notre singe devait s'accrocher très fort à une branche tout en tenant de l'autre son ami oiseau. Et la un éclair heurta le plus haut arbres de l'île et l'enflamma.

Et voilà comment leur petit nid si douillé, fait de joie et d'amitié termina ... En espérant qu'ils ont pu s'enfuir car la suite je ne la connait pas mais tout cette jolie île est partie en *cendre ce jour là.

Papy Hugo.

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Dernière édition par hugoluch, 21.04.2020 03:59

3. flanelle,

Salut,

Hugo je me fie à ta philosophie, si je vaut pas une risée je vaut pas grand chose.
Voila mon humble contribution, soyez indulgent.
Par un beau jour de mai, la ville de Zefirion a organisé un tournoi de tir de caillou.
Par curiosité, moi et ma famille avons verrouillé toutes les fenêtres et la porte de la maison pour se rendre au lieu des festivités.
Après avoir apporté le pique-nique, les chaises longues, les petits et mon mari sont partis voir comment se déroulaient les compétitions, j'ai profité de ce moment de solitude pour m'étendre en-dessous du palmier et sentir la brise sur mon visage et faire un petit roupillon. Mais après une demi-heure de sommeil, un couple d'oiseau se sont mis à se chamailler au-dessus de ma tête et le réveil n'a pas été agréable.

Mes hommes sont revenus à ce moment-là, et oh surprise, chacun d'entre eux c'étaient appliqués de la cendre sous les yeux pour contrer le soleil et avoir une meilleur vision lors de leur lancer du caillou.

C'est pourquoi ils avaient en leur possession le trophée de la victoire.
Ce fût une excellente journée.

flanelle

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Dernière édition par flanelle, 21.04.2020 04:01

4. Pragma,

Salut

Tiens, on dirait que la fenêtre est passée par la fenêtre lol, du coup du fait de cette coquille il y a 11 mots plutôt que 10. Pas grave, je relève quand même le défi !


Le jour est encore neuf et une douce brise empèche la grande chaleur du désert de s'installer. Affalé dans ma chaise longue, je termine mon cigare qui accompagne chaque matin mon café en regardant les ouvriers s'activer fièvreusement pour mériter leur salaire. Le réveil a été désagréable aujourd'hui, et je dois dire que ma solitude me manque. Que de vacarme ! Que de dérangement ! Que d'allées et venues ! Il me prend parfois l'envie de rassembler des cailloux et de les lapider un par un. Mais il faut sûrement supposer que ces gredins ont droit à leur fenêtre sur le paradis. Qu'ils profitent donc, car dès la fin de la saison ils trouveront assurément portes closes !

Ca y est, mon cigare est presque entièrement consumé et il n'en restera bientôt plus que des cendres. Vivement que la campagne se termine ! Oui, je sais fort bien que polliniser les palmiers dattiers est une nécessité, mais pourquoi faut-il toujours que le bonheur ait un revers ? Ne peut-on pas vivre simplement sa bonne fortune en se prélassant à l'ombre d'un parasol ? Ne peut-on pas partager avec les oiseaux le bonheur d'écouter les sons de la nature ? Non, je suis condamné à vivre chaque année cette mauvaise saison, avec son lot de brouhaha et de criaillerie, ce mélange infâme de faux respect et de curiosité malsaine, et surtout cette obligation de tout verrouiller derrière soi qui rend le quotidien si amer. A, maudits vauriens, partez bien vite et rendez-moi ma liberté !

EDIT
Le mot "palmier" m'avais filé entre les doigts, je me suis donc permis de l'ajouter.

Score: +0

Dernière édition par Pragma, 21.04.2020 06:11

5. Aminiel,

Bonsoir,
A mon tour, voici ma petite contribution.


JE croyais avoir trouvé un endroit pour retrouver un peu de solitude après toute cette effervescence, mais je me suis lourdement trompé. Décidément, quel drôle d'oiseau ! Cet imbécile a jeté un gros caillou à la fenêtre, m'offrant un réveil des plus assomant !
Il fallait qu'il brise cet unique carreau minuscule, m'exposant du même coup à la fraîcheur du jour. Pile au moment où je m'endormais, le vilain ! Il ne pensait sans doute pas que je puisse me réfugier dans cette cabane au bord de la falaise, en hiver...
Ces ridicules palmiers de la plage en contrebas ne mettent pas longtemps à brûler. Il n'y avait plus qu'un petit tas de cendres dans la cheminée, mais il s'en échappait encore une épaisse fumée. IL savait donc que j'étais là. En plus il n'a même pas remarqué que j'avais oublié de verrouiller la porte.
Je me demande encore si c'était de la curiosité mal placée ou de la méchanceté gratuite, mais il me surprendra toujours.

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6. katalina,

Je participe, voici donc ce que j'ai écrit...
m’entendez vous ? Je suis un petit caillou ! J’habite là bas, sous un palmier, et j’ai quelque chose à vous raconter… Comme je n’aime pas beaucoup la solitude, que je préfère casser casser mes habitudes, ce matin, à l’heure du réveil, j’ai discrètement tendu l’oreille…. J’ai entendu approcher un oiseau et je me suis dit « que ça doit être beau, de voler si haut… » alors j’ai profité de la brise, pour faire une petite bêtise… Je suis montée sur une de ces ailes, et je me suis cachée sous elle… Mon nouvel ami s’est envolé, je pouvais donc avec lui me promener ! Nous avons volétout le jourj’aurais bien voulu continuer, encore et toujours ! Mais mon ami a voulu manger, alors il s’est posé. Il s’est rendu compte que j’étais sous son aile, d’un coup de pâte, il me renvoya au ciel Mais seul, je ne suis capable de voler, vous me voyez, je suis coincé ! coincé dans votre fenêtre, quoique vous m'entendez peut être! ouvrez ouvrez, au moins par curiosité! Je sais que vous êtes là, je vois de la cendre dans la cheminée! MMais vvous ne rêvez que ça, de sortir, rien ne vvous ferait plus plaisir! Je sais qque vous êtes confinés, mais je vous prie de m'aider, à retrouver mon arbre bien aimé!

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7. bonhomme,

Cétait un jour comme les autres. Pour oublier la solitude de ces dernières semaines, je me réfugiais sous un palmier. J'adore sentir la brise dans mon visage et dans mes cheveux. J'aime surtout écouter les oiseaux chanter. C'est un son incomparable!

J'ai piquer un petit somme sous cet arbre. À mon réveil, j'entendais un bruit étrange. À non! Un feu de forêt! La forêt va être réduite en sendre. Pas un cailloux pourra résister à ces flammes dévastatrices. Les autorités étaient déjà sur les lieux au moins, mais il fallait que je m'enfuis au plus vite! Après 15 minutes de vélo, je suis arrivé devant ma maison. À non! Où est ma ^clé! La porte est bien sûre vrouillé. À la voilà. Cela aura été une journé mouvementé.

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Dernière édition par bonhomme, 23.04.2020 12:58

8. fortonn,

extrait du journal d'un déconfiné

jour n°158 jeudi 9 novembre 2020

Rien n'a changé.
C'est effectivement la phrase qui paraît la mieux addaptée à la situation.
Le soleil se lève toujours à l'est, le jour s'achève invariablement et de plus en plus tôt, apportant à la ville sa vie nocturne, ses bruits si reconnaissable et pour certains, la solitude qui suit une journée de travail bien remplie.
Cela fait 6 mois que nous avons pu reprendre notre "vie d'avant". Et qu'entendons-nous par cela. Le rêve de pouvoir prendre un métro, serré entre des inconnus, à la recherche d'un peu d'air?
Le bonheur de retrouver son lieu de travail qui nous aurait, a les entendre, tant manqué, avec ses fenêtres sales, sette secrétaire désagréable, ce patron qui lui n'a pas changé et ces putains de palmiers sur les murs pour nous donner une illusion d'évasion...
Retrouver sa routine, ses papiers à remplir, signer, parapher? Cette pièce si exigu. Ses cailloux portent bonheur. Ces statuettes ideuses.
C'est ça la "vie d'après"?
Le monde est toujours aussi fermé. Les gens toujours aussi verrouillés sur eux-même. La curiosité sur la vie d'autrui, voisins, amis éloignés, n'a duré qu'un temps.
Non.
Les choses ont changées. Et bel et bien changées.
Nous savons maintenant, nous en avons tous fait l'expérience des semaines durant, qu'il est possible d'apprécier un réveil discret, par les rayons du soleil, vous incitant à commencer votre journée.
Nous savons qu'il est possible de simplement s'extasier au son du chant des oiseaux, à la fraîcheur de la brise sur votre peau dans un doux matin d'avril. Qu'il est possible de rester une journée en appréciant toutes les actions que l'on fait ou de simplement laisser le temps passé, car après tout il est des choses que rien ne changera jamais.
Nous gardons des cendres de cette expérience. De beaux souvenirs mais qui n'ont rien donné. De belles résolutions mais aucun résultat.
Le monde est beau et on se le cache. On ne s'en rend compte que lors de catastrophe. Et les choses ne changent qu'en nous.

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9. nokomi ,

Nous n'imaginons jamais assez la solitude des oiseaux. Qui penserait, ne serait-ce qu'a s'en soucier...
Au réveil du jour, il s'agit pourtant là d'une bien triste curiosité. De ce ciel équimosé, d'où tombe la cendre des nuages, de cette terre de feu, d'où naissent les premiers caillou.
Entre air et poussière, entre brise et lumière,
Les ailes vérouillées vers l'horizon, ils planent dans le pâle reflets bleutés des tièdes journées du monde.
parcourant les alizés, survolant la vie comme on traverse un fief, comme une ultime caresse.
Demain alors, regardes bien la cime de ses arbres. Qu'ils soient chêne, saule ou palmiers. Qu'ils soient pin, cèdre ou cerisier.
N'oublies pas que de l'autre coté de la fenêtre, perchés sur leurs beauté, leur mélopée résonnera en toi, des premières lueurs jusqu'au dernier été.

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10. missradio,

Cela fait si longtemps. Si longtemps que tu es cachée en moi, si longtemps que tu tentes de te frayer un chemin dans mon âme que par précaution j'ai verrouillé. Si longtemps que je t'empêche de venir.
Mais je crois qu'aujourd'hui est un grand jour pour toi, ma belle. J'ai décidé de te laisser entrer en moi, comme on accueillerait une brise sur son corps un soir d'été.
J'ai pourtant essayé de t'ignorer, même une fois coupé du monde. Je me suis intéressée aux oiseaux du jardin, mais leur discours ne m'a pas séduite. J'ai observé le grand palmier que l'on perçoit au loin, mais en vain.
Ma gaieté semble être réduite en cendre. Je ne ressens plus aucune curiosité quand à mon réveil, j'ouvre la fenêtre pour tenter de respirer un air nouveau. Un air qui ne se renouvelle pas. Un air qui m'étouffe. Un air de vide. Un air mauvais.
Aujourd'hui, je dois bien admettre que j'ai été vaincu. Tu as lancé un caillou au creux de mon âme pour en briser la vitre. Tu as aspiré tous les fils me maintenant loin de toi. Et moi, et bien je n'ai plus envie de lutter. A quoi bon? A quoi cela sert-il ? Personne ne pourra m'entendre crier à l'aide. Alors, je t'en prie, prends place, viens, ô Solitude. Je ne t'attendais pas de si bonne heure, mais il faut croire que la vie en a voulu autrement. Peut-être que finalement, nous pourrions devenir de grandes amies, peut-être que je finirai par t'apprécier. Peut-être que finalement, je ne voudrais plus jamais, oh non, plus jamais te quitter. ne me laisse pas, ne me laisse plus. Maintenant que tu es là, reste je t'en prie, viens faire partie de ma vie.

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11. blaise97,

Un habitant d’un petit village isolé était fort déprimé devant la solitude dans la quelle il vivait chaque jour. Ayant absolument rien à faire et étant complètement seul et sans ami, il regardait par la fenêtre et s’apercevait chaque fois qu’il ne se passait rien de plus dehors que dans sa demeure. Il décida quand-même de sortir et d’aller à la foret, histoire de se changer les idées et de voire si il y avait pas quelque chose à faire. Durant sa promenade, juste à côté d’un beau palmier, une femme qui semblait également avoir rien à faire s’y trouvait, couché dans un petit monticule de cendre. L’homme se demandait par pure curiosité se qu’elle faisait là, il décida donc de s’en approcher, la femme se dressa et s’assoyas, ils se saluas puis discuta longuement. Après plusieurs heures de discussion en toute tranquillité, les deux partenaires se couchas côte à côte et les choses se mette à s’envenimer. C’était le bonheur total pour les deux partenaires, ils étaient aux petits oiseaux! Après un bon moment fait de toute ces petites jouissances, ils s’endormis sous une petite brise qui les aidas à dormir paisiblement. Après plusieurs heures de sommeils, cette dernière se transforme en grand vent, se qui a pour effet de leur souffler des cailloux dans le visage. Ce fut bien évidemment un réveil pas très intéressant, mais les deux partenaires était tout de même très contant de se retrouver et de se rendre conte qu’ils étaient toujours ensemble. Pour palier aux intempéries de la nature, l’homme proposa donc de poursuivre la nuit chez lui et la femme accepta. Pendant leur trajet pour se rendre à la demeure de l’homme, ils discutaient, puis plus ça avançait, plus les deux partenaires ressentaient une envie d’encore un peut d’action. Une fois la demeure gagné, ils entras dans la chambre, fermas la porte, verrouillas celle-ci et s’installas dans le lit. La suite? La porte est verrouillé, c’est donc du privé mais elle est évidente!
Moralité : il sufi souvent d'un rien pour combler la solitude… et notre lit!

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12. zefir,

Bonjour à tous !

Et voici que ce premier concours s’achève. Avant toute chose, je tiens à remercier l’intégralité des participants. J’espère que vous avez apprécié ce premier concours et que vous avez appris, au côté des autres, grâce à leurs productions. En ce qui me concerne, j’ai trouvé cela très enrichissant et cela me donne envie d’une seule chose, c’est de recommencer ! J’espère donc qu’il en va de même pour vous.

En attendant, voici le podium que j’ai décidé de mettre en valeur :

  1. Flanelle
  2. Aminiel
  3. Nokomie

Départager les différentes productions a été difficile, mais je me suis décidé pour une sélection en trois phases (respect de la consigne, originalité du texte, et qualité rédactionnelle pour la fin de la sélection).
J’ai été seul jury pour cette fois, mais j’invite ceux qui veulent en faire partie à m’envoyer un message permanant pour que je puisse recruter deux jurés supplémentaire. Naturellement, le jury ne participe pas au concours. Il peut également changer au fil du temps, cela ne pose aucun souci.

J’ai développé un peu plus avant mes choix sur la table libre de ce vendredi 24, donc je ne vais pas tout réécrire ici, cela serait trop long, et je doute que ça intéresse beaucoup de monde. Cependant, si des gens souhaitent des conseils pour les productions à venir, où s’ils veulent poser des questions en rapport à ce concours ou au projet de manière générale, n’hésitez pas, je ferai toujours de mon mieux pour vous répondre, dans la mesure de mes capacités.

Je note que deux personnes ont oublié au moins un mot dans leur production, je vous invite à toujours repasser sur ce que vous faites, nous ne sommes jamais à l’abris d’une erreur. Parallèlement, 80% des participants, soit 8/10 ont choisi d’utiliser le mot bonus (fenêtre.) Ce n’est pas très important, mais je trouvais la statistique amusante !

À très bientôt,
Zefir

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